Vade-mecum du Fonds de solidarité
Principes
Le Fonds de solidarité de l’école fondamentale MARTIN V est géré par le directeur. Alimenté par les cotisations de tous les parents (8 € par famille), il ne dispose naturellement pas d’un budget illimité. Il a pour objet d’intervenir au bénéfice des enfants dont les parents peuvent éprouver des difficultés, passagères ou structurelles, à faire face aux frais de scolarité. Fiscalement, le Fonds de solidarité fonctionne sur base d’une année civile ; cependant, il intervient pour les demandes relatives à l’année scolaire en cours.
Les principes qui guident le fonctionnement du Fonds de solidarité s’inspirent des valeurs promues par le projet pédagogique de l’école. Le fonds se veut donc avant tout solidaire, ce qui implique qu’il est affecté uniquement au soutien de familles qui rencontrent des difficultés. Il ne peut être question d’une répartition « égalitaire » puisque les situations personnelles ne le sont pas. Ce principe de solidarité implique que les familles qui, délibérément, ne paieraient pas la cotisation relative au Fonds de solidarité, ne pourraient en bénéficier. Par ailleurs, le Fonds se veut respectueux de la personne ce qui implique, au delà du contact avec son gestionnaire, une totale confidentialité dans la gestion des demandes. Il est rappelé que le Fonds de solidarité constitue une aide au service d’une collectivité et non un dû.
L’intervention financière du Fonds de solidarité ne couvre pas l’entièreté du montant pour lequel les familles font leur demande. Une participation de ces dernières, à définir avec le gestionnaire du fonds, reste due. Cette participation est fixée sur la base de différents paramètres tels que : intervention d’une mutuelle, intervention du CPAS, déductibilité fiscale…
Mode d’emploi
L’introduction d’une demande d’intervention du fonds de solidarité nécessite, d’établir un contact téléphonique ou personnel avec un des cogestionnaires :
- Laurent Buset : 0495/32.66.83
- David Foret : 010/83.41.45
Le fonctionnement du Fonds pourra être revu à tout moment par le bureau de l’Association des familles, notamment quant aux critères de son intervention. Nul ne pourra donc voir dans le régime actuel l’expression d’un acquis, l’intervention du Fonds restant une faveur et non un droit. Le non-respect de ce vade-mecum entraîne une exclusion définitive de l’aide qui pourrait être allouée par le Fonds de solidarité.